Comment gérer la relation avec les banques pour les PME ?

Comment gérer la relation avec les banques pour les PME ?

25 novembre 2021 Non Par Zozo

Dans cet article dédié aux sources de financement, nous expliquons en termes simples ce qu’est la gestion de la relation avec les banques, et quel est le rôle d’un consultant spécialisé. Dans la gestion d’entreprise, le budget de trésorerie, se situant dans l’activité plus large de budgétisation d’entreprise, fournit à l’utilisateur une série de données qui mettent en évidence, pour une période de prévision spécifique, les détails des entrées et des sorties de trésorerie. Pour cette raison, le budget de trésorerie est également appelé budget de trésorerie ou budget financier.

De quoi parle-t-on exactement quand on parle de « gérer les relations avec les banques » ?

La gestion des relations avec les banques vise avant tout à différencier les formes de crédit, en gérant celles les plus adaptées à la situation et à la conformation de l’entreprise. De nombreuses entreprises ont des problèmes de liquidité : pensez à combien, par exemple, en cette période de stagnation économique, ont des commandes intermittentes de clients. La banque peut aider aux paiements et pouvoir gérer la relation avec les établissements de crédit est très importante pour la stabilité financière de l’entreprise.

Combien de PME ont du personnel interne dédié à la gestion des relations avec les banques ?

D’après mon expérience personnelle, il y a très peu de cas où il y a une personne dévouée. Dans certaines entreprises de taille moyenne, une ou plusieurs ressources administratives s’en chargent, mais le plus souvent de manière occasionnelle. C’est pourquoi, dans la plupart des cas, nous nous tournons vers des consultants externes spécialisés. Par exemple, nous sommes spécialisés dans la gestion des relations avec les banques locales.

Quelles sont les principales complexités de l’accès au crédit pour les PME ?

La principale critique pour accéder au crédit est d’avoir une notation bancaire adéquate. La notation bancaire est l’indicateur d’évaluation de la fiabilité d’une entreprise. Ce paramètre, essentiel pour accéder au crédit, peut être amélioré avec le capital de l’entreprise et la croissance économique qui, à son tour, doit être poursuivie par l’analyse et la planification des revenus et la mise à jour constante de son plan d’affaires.

Une entreprise doit demander un prêt substantiel pour soutenir un investissement productif.

De quoi a-t-il besoin ? Quelle est la pratique ?

Pour solliciter un prêt, par exemple un crédit immobilier ou une ligne de crédit proportionnée aux besoins, il est nécessaire de présenter un business plan qui démontre rigoureusement les résultats économiques positifs attendus. Le consultant peut aider à le rédiger. De plus, le consultant aidera l’entreprise à naviguer dans les différentes options de financement proposées, en évaluant l’adéquation de la durée et des taux d’intérêt.

Que fait le consultant en gestion des relations avec les banques ?

Le consultant peut aider l’entreprise à élaborer le plan d’affaires et à analyser les revenus attendus, en aidant l’entrepreneur et la direction de l’entreprise à prendre en compte des paramètres importants tels que les flux de trésorerie et la liquidité. Par la suite, évaluez le montant à demander et, par la suite, les formes de financement et les taux d’intérêt offerts par les différents établissements de crédit.

De plus, le consultant peut traiter directement avec la banque, réduisant même dans certains cas les frais de commission requis.

Enfin, le consultant comme le comptable à Ixelles peut proposer de changer d’établissement de crédit, par exemple lorsque les taux d’intérêt ne sont plus compétitifs et que les garanties exigées deviennent excessives.

Quel risque est encouru en négligeant une bonne gestion des relations avec les banques ?

Le plus grand risque, que nous avons nous aussi rencontré dans la réalité, est celui de se retrouver en difficulté financière même lorsque la performance globale de l’entreprise est positive.  Nous avons eu le cas d’un client qui avait demandé une ligne de crédit de 300 000 euros qui n’a pas été utilisée. Il devait payer la commission de 0,5% tous les trois mois à la banque, soit 2% en fin d’année. Après avoir évalué les besoins réels de liquidité, nous avons procédé à la diminution du montant de la ligne de crédit à 250 000 euros et à la négociation du montant des commissions avec la banque, apportant des économies importantes à l’entreprise.